Étiquette : 2022
Mon amour tu bois trop – Léonie Pernet
J’ai pris mon tempsMais j’ai rattrapé la vie à tempsJ’ai prié pendant deux...
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Sous le soleil – Guillain Méjane
Sous le soleill’emprise d’une longue absence.L’immobilem’a fait entrerdans le soleil.Les...
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L’acmé est si seul – Guillain Méjane
L’acmé est si seul, éclairé seulement par dessus la tête. Être et enterré, avant d’effondrer...
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Les feuilles sont entrées par la porte – Guillain Méjane
Les feuilles sont entrées par la porteen montant une seule marche de pierre. De la cuisine...
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Restées sous vide trop longtemps – Guillain Méjane
Restées sous vide trop longtempsles bouffées de larmes sont sorties comme les fuites d’un gaz...
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La marque des vers ne s’efface pas – Guillain Méjane
La marque des vers ne s’efface pas. Écrire segmente les lignes de vue, déporteles pentes contre...
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Dans le fond noir fondu – Guillain Méjane
Dans le fond noir fondules vers creusent des chapitres entiersils enfouissent des formes...
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En arrivant – Guillain Méjane
En arrivantdans l’estuaire, la porte estfermée par la vase, la graine a germé, s’élève...
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Dards des bourrasques – Guillain Méjane
Dards des bourrasques, éclairs de pailleet le tonnerre se répète comme le prolixe enfile ses mots....
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Avec les émanations des combes – Guillain Méjane
Avec les émanations des combes les pluies se chargent, grondent près des sols, d’extraits...
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Terrain gluant à la sortie des taudis – Guillain Méjane
Terrain gluant à la sortie des taudis Sous les tâches blanchâtres, le sol se décompose à grande...
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Il ne pleut jamais très loin – Guillain Méjane
Il ne pleut jamais très loinde celles qui s’acharnentà renaître. Tout doit pousser, même sur...
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