Étiquette : Gertrud Kolmar
L’enlevée – Gertrud Kolmar
Mai 13, 2018 | Littérature, Poèmes
Dans l’auge je découpe des croûtes dures De lourd pain noir que je cuis ; Je veux me ceindre d’un...
Lire la suiteL’aimée – Gertrud Kolmar
Mai 13, 2018 | Littérature, Poèmes
Devant tes fortes pensées diurnes Je suis debout fragile et bafouée, Coupe aux guirlandes de...
Lire la suiteL’inexplorée – Gertrud Kolmar
Mai 12, 2018 | Littérature, Poèmes
Moi aussi, je suis une partie du monde. J’ai des montagnes jamais atteintes, une brousse...
Lire la suiteLa jardinière – Gertrud Kolmar
Mai 12, 2018 | Littérature, Poèmes
Dents et manche du râteau, Léger effort de la main ; Le bulbe floral est tombé Dans un sable...
Lire la suiteLa sorcière – Gertrud Kolmar
Mai 12, 2018 | Littérature, Poèmes
Je veux la nuit coucher dehors et crier comme un oiseau, Résonner comme crie le geai, « jac ! jac...
Lire la suiteLa jeune vagabonde – Gertrud Kolmar
Mai 12, 2018 | Littérature, Poèmes
La nuit, Quand la lune orange a tout à fait tourné à l’argent, D’autres arrivent encore et...
Lire la suiteLa juive – Gertrud Kolmar
Mai 11, 2018 | Littérature, Poèmes
Je suis étrangère. Parce que les humains ne se risquent pas jusqu’à moi, Je veux être ceinte de...
Lire la suiteLa voyageuse – Gertrud Kolmar
Mai 11, 2018 | Littérature, Poèmes
Tous les chemins de fer projettent leur vapeur dans mes mains, Tous les grands ports balancent...
Lire la suiteL’esprit de la mer – Gertrud Kolmar
Mai 10, 2018 | Littérature, Poèmes
La peau vitreuse de mes paupières Rejette la nuit, rejette la lumière ; Le plumage de tempête de...
Lire la suiteLa vagabonde – Gertrud Kolmar
Mai 10, 2018 | Littérature, Poèmes
J’ai saisi convulsivement une vie, Suis morte de vingt morts, J’ai été piétinée avec les fleurs Et...
Lire la suiteLa poétesse – Gertrud Kolmar
Mai 10, 2018 | Littérature, Poèmes
Tu me tiens dans tes mains tout entière. Mon cœur, comme celui d’un petit oiseau, bat Dans ton...
Lire la suiteNostalgie ardente – Gertrud Kolmar
Avr 27, 2018 | Littérature, Poèmes
je pense à toi, toujours je pense à toi. Les hommes me parlent, je n’y prête pas attention....
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