Étiquette : 1851
Ma barque – Emily Dickinson
Ma barque s’est-elle brisée en mer,Crie-t-elle sa peur sous le vent,Ou docile a-t-elle hissé...
En savoir plus
Doux scepticisme du cœur – Emily Dickinson
Doux scepticisme du cœur —Qui sait — et ne sait pas —Et tangue ainsi qu’une flottilleDe...
En savoir plus
Et avec quel corps reviennent-ils ? – Emily Dickinson
« Et avec quel corps reviennent-ils ? » —Ainsi c’est qu’ils reviennent — Réjouis-toi...
En savoir plus
Aussi imperceptiblement que le chagrin – Emily Dickinson
Aussi imperceptiblement que le chagrinL’été s’en est allé —Trop imperceptible...
En savoir plus
L’encanteur des adieux – Emily Dickinson
L’encanteur des adieux :« Une fois, deux fois, adjugé »,Crie du haut de son crucifix,Puis...
En savoir plus
La douleur tient du vide – Emily Dickinson
La douleur tient du vide —Elle ne peut se rappelerQuand elle a commencé — ou s’il futUn...
En savoir plus
On dit que le temps guérit – Emily Dickinson
On dit que le temps guérit —Le temps jamais n’a guéri —Une souffrance réelle...
En savoir plus
A mon oreille fine – Emily Dickinson
A mon oreille fine les feuilles — conféraientLes journées — eux — étaient des cloches —Je ne...
En savoir plus
La mort est un dialogue – Emily Dickinson
La mort est un dialogue entreL’esprit et la cendre.« Dissous-toi », dit la mort —...
En savoir plus
Je me dis, la terre est brève – Emily Dickinson
Je me dis, la terre est brève —Et l’angoisse — absolue —Et nombreux — les blessés,Mais,...
En savoir plus
J’étais morte pour la beauté – Emily Dickinson
J’étais morte pour la beauté, mais à peineEtais-je installée dans la tombeQu’un autre,...
En savoir plus
Si bien que je peux vivre sans – Emily Dickinson
Si bien que je peux vivre sans —Je t’aime — alors est-ce si bien que ça ?Aussi bien que...
En savoir plus