Pendant les heures de fin – Guillain Méjane
Pendant les heures de fin
les gestes sont rares.
Dans un baroud,
l’esprit
rassemble tout.
Ceux
prêts à basculer
reviennent
sur leurs jours.
Courber le temps,
l’envoyer à rebours,
leurs utopies cèdent
aussi.
À ceux qui restent
Il faut s’arrêter
partager
les heures de fin.