Les étendues d’écume – Guillain Méjane
Au seuil de l’eau, au son des pierres immergées,
Une ombre hésite devant tant de vestiges.
Il y avait un portail forgé, grinçant sur ses vieux jours.
Entre trois mélèzes, à l’abri des saisons,
Un tertre au teint passé, des astres
Et un étang bordé de joncs, de galets et de brume.