Le temps pour moi de m’enfoncer dans la forêt imaginaire – Guillain Méjane
Le temps pour moi de m’enfoncer dans la forêt imaginaire
Et de suivre la trace dans la neige épaisse
Comme le temps qui passe
La vie sauvage au bout des doigts picote
Et se réveille sous les affres du froid
En moi la peur obscure de la caverne
Entre la fenêtre et le radiateur