Le souvenir s’élève jusqu’au éthers d’azur – Guillain Méjane
Le souvenir s’élève jusqu’au éthers d’azur
Inondant les nuages de nos rêves d’antan
Tu t’envoles au soleil en chevelure de vent
Et croise l’empyrée des oiseaux d’aventure
Pleurent les embruns flous sur des vagues qui dansent
L’écume des beaux jours, l’inaccessible absence