La Cabussada – Moussu T e lei Jovents
Se promenant le matin
La cigarette à la main Les yeux fixés sur la mer Cœur à découvertSoudain s’arrête, flashé
Il n’a vu qu’elle Son sein si charmant, si parfait Lorsque la belle a plongéLaissant là, sur les rochers
Ses affaires et son passé Il écrase son égo Enlève son manteauS’en va d’un pas assuré
Dans l’eau si froide
Rejoindre la beauté salée Le bel éclair alluméAdieu parents et voisins
Jolies filles du chemin Ce soir, ne m’attendez pas Ne comptez plus sur moiCette sirène allongée
C’est ma maîtresse Couché sur son ventre d’argent Je vivrai joies et tourments