Jusqu’à ce que la nuit recouvre la Terre d’oubli – Guillain Méjane
Jusqu’à ce que la nuit recouvre la Terre d’oubli
Mille ans passeront. Quelques printemps vite étouffés
Des étoiles naîtront, d’autres mourront, elles perceront
Le voile jusqu’à la déchirure, l’ouverture, jusqu’au jour
Nimbé de sang.
Puis, en terre des hommes faits d’hommes
– boue et or –
Tout recommencera