Avril – Jean Cocteau
Les étalons aux croupes éloignées
tonnent dans les marronniers
le tonnerre mauve
embaume
le lilas
il
rou coule
J’ai comme des pressentiments
gouttes
chaudes
sur ma main
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Les étalons aux croupes éloignées
tonnent dans les marronniers
le tonnerre mauve
embaume
le lilas
il
rou coule
J’ai comme des pressentiments
gouttes
chaudes
sur ma main